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Samedi 26 avril 2025

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Nous prenons la route vers les Jbel Rhat, Sarhro (2559 m d'altitude) et Ougnat, en passant par les villes de Tazzarine et Alnif. Le trajet est long mais les paysages sont magnifiques. La route file droit à travers une steppe désertique. On franchit des étendues sans fin de cailloux, ponctuées de quelques arbres et touffes d'herbes. Les photos sont prises à travers la vitre du car, d'où un flou artistique pour certaines...

vendredi 25 avril 2025

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Tamegroute a son style de poterie. L'argile locale est travaillée à la main et au tour pour produire des bols, jarres, lampes à huile dans les teintes vertes ou jaunes. Ces objets sont cuits dans un four alimenté par des feuilles de palmiers sèches. Les hommes travaillent dans les fumées noires et épaisses. Ce travail difficile, la rusticité et les imperfections des pièces font toute la valeur de cette poterie.

Vendredi 25 avril 2025

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Départ pour la palmeraie de Zogora via la vallée du Drâa. A Tamegroute, visite de la bibliothèque coranique connue pour sa collection de Corans et de précieux manuscrits. Le plus ancien Coran,  écrit à la plume de roseau sur une peau de gazelle, daterait du XIe siècle. Nous apprécions ensuite une promenade rafraîchissante dans les ruelles plongées dans la pénombre du ksar (un vrai labyrinthe !) avant de s'arrêter au musée des Arts et Traditions pour découvrir la culture berbère. Tous les aspects de la vie quotidienne des Draouas (habitants de la vallée) sont représentés dans ce petit musée installé sur trois niveaux d'une maison en pisé. Le gardien est très fier d'avoir rassemblé au fil des ans, une si belle collection d'objets traditionnels.

Vendredi 25 avril 2025

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Après avoir passé le col du Tichka (2260 m d'altitude), situé au coeur des montagnes du Haut Atlas, nous nous dirigeons vers la palmeraie de Zagora. La vallée de l'Ounila offre un décor minéral de collines ocres et rouges, ponctué de villages de pisé ; ksars et kasbahs, pour beaucoup en ruines, s'y succèdent. La route est magnifique.

Jeudi 24 avril 2025

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Le jardin Majorelle a été créé dans les années 1930 par le peintre Jacques Majorelle. Palmiers, cactus, yuccas, nénuphars, bambous composent un  nouveau tableau à chaque coin de ce jardin.  Menacé de destruction pour y construire un ensemble immobilier, il fut sauvé par Yves Saint Laurent et Pierre Bergé. L'atelier du peintre transformé en Musée des arts berbères, abrite une belle collection d'objets : armes, costumes et bijoux. Le musée YSL  est entièrement habillé de noir, cette couleur sublime les créations du grand couturier. Une cinquantaine de modèles y sont présentés avec leurs accessoires, retraçant quarante années de son oeuvre. Dommage, les photos sont interdites...

Jeudi 24 avril 2025

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Ce voyage dans le sud marocain se déroule selon les étapes suivantes : Marrakech/Ouarzazate - la valléee du Drâa/Zagora - Erfoud - les gorges du Todra et Tineghir - La vallée du Dadès/AÏt Ben Haddou - Ouarzazate/Marrakech.

Notre premier jour de visite débute à Marrakech par la découverte de la mosquée Koutoubia : c'est la plus grande mosquée de la ville. Son minaret de 77 mètres est orné de motifs géométriques d'une grande finesse surmonté de quatre globes en cuivre. Les décors ont inspiré la Tour Hassan à Rabat et la Giralda de Séville, monuments construits à la même époque.

Nous nous dirigeons ensuite vers les tombeaux Saadiens. La salle des douze colonnes, en marbre de carrare, couronnée d'une coupole en bois de cèdre, est impressionnante et magnifique. Elle abrite les tombeaux du sultan Hamed el Mansour et de sa famille.

Mardi 18 février 2025

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Une quarantaine de cigognes se sont arrêtées dans un champ en cours de labourage. Une aubaine pour se rassasier de vers et d'insectes et se reposer. Le tracteur et le chien ne paraissent pas les déranger.  Moi non plus d'ailleurs, j'ai une belle proximité pour les photographier.

Dimanche 09 février 2025

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Victor-Auguste Poulain, un homme passionné et déterminé. Il naît le 11 février 1825 à Pontlevoy, à la ferme du Château des Bordes. Dernier d'une fratrie de 10 enfants, il a la chance d'aller à l'école primaire. Il quitte la ferme familiale à 9 ans et suit un apprentissage comme commis épicier à Bléré. A 13 ans, sur recommandation de Mme de Ribeyrey, châtelaine du Château des Bordes, il est embauché chez un épicier de luxe, au "Mortier d'Argent", près du jardin du Luxembourg à Paris. C'est là qu'il se passionne pour le chocolat. Il économisera pendant 8 ans pour revenir à Blois et ouvrir sa propre boutique en 1847. Le chocolat Poulain s'imposera, à grand renfort de publicité, par les images ajoutées dans les boites de chocolat.